Faire des économies, diminuer ses dépenses, freiner leur évolution, ne pas engager celles qui seraient inutiles…c’est toujours bon.
Mais attention à ne pas trop tirer sur la corde raide ! La recherche d’économies ne permettra pas perpétuellement de dégager des marges de manœuvres.
Pour améliorer les ressources, il y a deux voies… complémentaires :
- Diminuer les dépenses
- Augmenter les recettes
Le gouvernement ne parle que d’économies budgétaires… et de hausse de prélèvements, voire de prélèvements nouveaux. Il utilise les deux voies indiquées plus haut.
Mais il oublie que, pour augmenter ses recettes, il a deux possibilités majeures :
- Augmenter les taux d’imposition ou créer de nouveaux impôts
- Augmenter les bases fiscales
Il semble avoir oublié de concentrer son énergie sur cette dernière solution. Au lieu de charger davantage ceux qui paient, il est préférable de favoriser le développement de ceux qui ne paient pas. Devenus plus « riches, ils deviennent alors éligibles à l’impôt.
Ce qui est valable pour l’Etat l’est aussi pour les collectivités. Nous l’avons souvent écrit et dit.
France, Vendôme : même combat, même problème, même besoin, même absence de décision !
La priorité des priorités doit être le développement économique : plus d’entreprises, des entreprises plus compétitives, donc plus d’emploi, plus de ménages (foyers fiscaux)… donc plus de revenus fiscaux (sur les entreprises et sur les ménages) sans augmenter la pression fiscale mais en contribuant à l’augmentation de ceux qui paient ces contributions.
Qu’attendent-ils, celles et ceux qui nous gouvernent, nationalement comme localement, nous pour réagir ?
C’est la route prioritaire que nous vous proposons d’emprunter pour le renouveau de Vendôme et du Vendômois en 2014. A suivre...